BEIRUT: The Internal Security Forces unveiled 31 electro-chemical timers on Tuesday that ISF chief Achraf Rifi said had been "confiscated last week" from the "vicinity" of the Palestinian refugee camp of Ain al-Hilweh in Sidon. Militants had intended to use the devices for "terrorist operations," Rifi said, declining to elaborate on details of the alleged operation or of the seizure.
The announcement came two days after a report by prominent US investigative journalist Seymour Hersh said that the government of Prime Minister Fouad Siniora was allowing and possibly supporting the expansion of Sunni extremist groups in Lebanon, partly in an attempt to counter a challenge to its power by Hizbullah.
Hersh's report cited "American, European and Arab officials" as saying that "the Siniora government and its allies had allowed some aid to end up in the hands of emerging Sunni radical groups in northern Lebanon, the Bekaa Valley, and around Palestinian refugee caps in the South."
On Monday, Siniora's office said Hersh's report was "totally unfounded" and that the charges "totally contradict the mission statement of the Lebanese government which works hard to strengthen the abilities" of the Lebanese security forces.
The ISF displayed the confiscated timers at a shooting range in Aaramoon on Tuesday.
Source : The Daily Star
mercredi 28 février 2007
lundi 26 février 2007
« Tous les partis ont recommencé à s’armer », déplore le patriarche maronite
Le patriarche maronite, le cardinal Nasrallah Sfeir, a tiré hier la sonnette d’alarme concernant la détérioration de la situation dans le pays, notamment sur le plan de la sécurité. «Tous les partis ont recommencé à s’armer, a notamment déploré le patriarche Sfeir, comme si nous retournions vingt ans en arrière, et comme si nous n’avions rien appris des tragédies, abominations et difficultés que nous avons connues. » Lors du prêche du dimanche 25 février, le prélat maronite s’est étonné du fait que « nous soyons encore capables de renoncer au rôle de l’armée libanaise qui est la soupape de sécurité pour tous les Libanais ». Il semble que « nous ayons oublié que ce genre de disputes, qui transforment le pays en champ de bataille, finit par saper les fondements de l’État et force les citoyens à chercher d’autres pays, où ils ne sont même pas sûrs de trouver la tranquillité à laquelle ils aspirent ».
« Retournons à Dieu, a-t-il dit, et craignons-le. Reconstruisons ensemble notre pays, main dans la main, sur la base du respect mutuel, de sorte que nous soyons égaux devant la loi et qu’aucun citoyen ne sente qu’il a plus de droits qu’un autre », a affirmé le cardinal Sfeir. Le patriarche maronite a déploré que les querelles politiques divisent les membres d’une même famille. « La politique est corruptrice », a-t-il souligné, reprenant sur ce plan un vieux dicton arabe.
Source : L'Orient Le Jour
« Retournons à Dieu, a-t-il dit, et craignons-le. Reconstruisons ensemble notre pays, main dans la main, sur la base du respect mutuel, de sorte que nous soyons égaux devant la loi et qu’aucun citoyen ne sente qu’il a plus de droits qu’un autre », a affirmé le cardinal Sfeir. Le patriarche maronite a déploré que les querelles politiques divisent les membres d’une même famille. « La politique est corruptrice », a-t-il souligné, reprenant sur ce plan un vieux dicton arabe.
Source : L'Orient Le Jour
Découvertes d’explosifs et folles rumeurs empoisonnent le climat interne
Après la découverte, jeudi dernier à Achrafieh (Beyrouth), de caisses contenant des explosifs et des détonateurs, ainsi que de grenades de type Energa dans les hauteurs du Kesrouan, de mauvaises surprises similaires ont été signalées au cours des dernières quarante-huit heures dans différentes régions, provoquant un climat de psychose aggravé par les folles rumeurs qui circulent. Samedi, les forces de l’ordre ont ainsi trouvé à Qobbé (Tripoli), des obus et des munitions anciennes et rouillées placées dans une caisse en fer. Parmi ces armes inutilisables se trouvaient huit grenades et des munitions pour des armes individuelles. La caisse se trouvait devant une benne à ordures près du complexe. L’armée a aussitôt encerclé le secteur et déplacé les armes saisies, alors que les forces de l’ordre ouvraient une enquête.
À Tripoli également, des rumeurs sur la présence d’explosifs dans l’enceinte du port ont semé la panique parmi les ouvriers et les employés. Il s’est avéré qu’il s’agissait simplement du chargement d’un bateau transportant des munitions de fusils de chasse, parmi lesquelles se trouvait une ceinture d’explosifs non chargée. L’enquête se poursuit dans cette affaire également. À Ras Beyrouth, vingt paquets de TNT dont le poids a été estimé à quelque 25 kilogrammes ont été repérés dans un appartement vide d’un ancien bâtiment de la rue Makhoul.
Le Sud n’a pas été épargné non plus. Des fusées ont été découvertes sur l’autoroute de Saksakiyé dans la région du Zahrani vers 13h, samedi. Elles ont été examinées par des experts militaires. Par ailleurs, dans une canalisation d’eau sur la route allant de Baïssariyé à Sarafand, huit lance-grenades B7, et cinq grenades enveloppées de nylon et en bon état ont été trouvées par un homme qui récoltait des plantes en bordure de l’autoroute. Une équipe du département de génie de l’armée a entrepris de les déplacer vers un lieu plus sûr. Enfin, des rumeurs sur la présence d’un colis piégé à Antélias ont poussé l’armée à boucler cette région, mais les soupçons des habitants ayant donné l’alerte ne se sont pas confirmés.
Source : L'Orient Le Jour
À Tripoli également, des rumeurs sur la présence d’explosifs dans l’enceinte du port ont semé la panique parmi les ouvriers et les employés. Il s’est avéré qu’il s’agissait simplement du chargement d’un bateau transportant des munitions de fusils de chasse, parmi lesquelles se trouvait une ceinture d’explosifs non chargée. L’enquête se poursuit dans cette affaire également. À Ras Beyrouth, vingt paquets de TNT dont le poids a été estimé à quelque 25 kilogrammes ont été repérés dans un appartement vide d’un ancien bâtiment de la rue Makhoul.
Le Sud n’a pas été épargné non plus. Des fusées ont été découvertes sur l’autoroute de Saksakiyé dans la région du Zahrani vers 13h, samedi. Elles ont été examinées par des experts militaires. Par ailleurs, dans une canalisation d’eau sur la route allant de Baïssariyé à Sarafand, huit lance-grenades B7, et cinq grenades enveloppées de nylon et en bon état ont été trouvées par un homme qui récoltait des plantes en bordure de l’autoroute. Une équipe du département de génie de l’armée a entrepris de les déplacer vers un lieu plus sûr. Enfin, des rumeurs sur la présence d’un colis piégé à Antélias ont poussé l’armée à boucler cette région, mais les soupçons des habitants ayant donné l’alerte ne se sont pas confirmés.
Source : L'Orient Le Jour
mardi 20 février 2007
Arms smuggled to Hizbullah weekly
LEBANON BORDER : Weapons are reaching Hizbullah from Syria "on a weekly basis," usually at night, evading UNIFIL peacekeepers stationed in Lebanon, officers in the IDF's Northern Command told Vice Premier Shimon Peres on Tuesday. Peres, accompanied by OC Northern Command Maj.-Gen. Gadi Eizenkot, was visiting the Lebanese border to learn about preparations for a possible regional flare-up in the near future.
Ben-Eliezer: 'Don't turn a blind eye to Hizbullah'
Although there were problems, "there is no need for hysteria," Peres said. Hizbullah had not regained its strength, he said. "They have not restored their weapons stockpiles to the level they were before the war," he said, adding that strength was "not only measured by arms, but also by deployment, freedom of movement and other variables." The vice premier contradicted the assessment of Brig.-Gen. Yossi Baidatz, head of Military Intelligence's Research Division, who told the Knesset Foreign Affairs and Defense Committee on Monday that Hizbullah had "returned to its pre-war capabilities and has even become stronger." Instead, Peres agreed with Defense Minister Amir Peretz, who told the same panel that "Hizbullah has not increased its strength, but merely its potential." "We know Hizbullah is reequipping itself with arms, and this is a catastrophe, first and foremost for Lebanon itself," said Peres. "Lebanon is about to get $7.5 billion in aid, and if Hizbullah attempts to misbehave, it will destroy the country," he said.
Peres said the enlarged UN force deployed in Lebanon was far more effective than previous versions. Nevertheless, he said UNIFIL must take increased measures to stop the smuggling of arms to Hizbullah. "I don't think Hizbullah has managed to rearm to its pre-war level. It sustained a serious blow during the summer and is still trying to recuperate," he said. Peres travelled west to east along the border, finishing his tour at the IDF's Tulip outpost near Ghajar, where he answered questions from Golani Brigade soldiers. Peres said the army was investing a great deal of effort to fix the flaws that became evident during last summer's war in Lebanon, emphasizing training - which, he said, had now reached a much higher level.
"Mistakes have been made. Whereas totalitarian regimes just sweep all their problems under the carpet, as Hizbullah has done, we [admit] them publicly and out in the open," he said. "The real test is whether we are fixing our mistakes, and I can tell you that we are... The situation on the northern border is far better than before the war." "Israel's position is that there cannot be a Hizbullah presence on the other side of the border... From what we are witnessing, [Hizbullah head Hassan] Nasrallah is ridiculing the UN, admitting that the group has been engaging in arms smuggling," said Peres, adding there was "no such thing in the world as a nation that has two armies." He downplayed forecasts that another conflict with Hizbullah was imminent. "We need to be on a high state of alert, but under no circumstances do we need to be on edge," he said.
Concerning Syria, Peres said it was not an "independent agent" in the region. "It, too, is taking a very close look at the map and is definitely not satisfied," he said, noting that Syria shares borders with Iraq, Israel, Turkey and a "mixed-up Lebanon." According to Eizenkot, the reality Israel faces is "not a simple one," but it has changed for the better. "Hizbullah outposts along the border have been destroyed, the multinational force and the Lebanese army have deployed tens of thousands of troops in southern Lebanon, and I can assure you we have the IDF's finest units in this sector," he said.
"We need to remember that the force that held de facto sovereignty over southern Lebanon just seven months ago is no longer one that can operate freely in the region," continued the OC northern command, adding that Hizbullah was no longer conducting paramilitary activity in the region.
Source : The Jerusalem Post
Ben-Eliezer: 'Don't turn a blind eye to Hizbullah'
Although there were problems, "there is no need for hysteria," Peres said. Hizbullah had not regained its strength, he said. "They have not restored their weapons stockpiles to the level they were before the war," he said, adding that strength was "not only measured by arms, but also by deployment, freedom of movement and other variables." The vice premier contradicted the assessment of Brig.-Gen. Yossi Baidatz, head of Military Intelligence's Research Division, who told the Knesset Foreign Affairs and Defense Committee on Monday that Hizbullah had "returned to its pre-war capabilities and has even become stronger." Instead, Peres agreed with Defense Minister Amir Peretz, who told the same panel that "Hizbullah has not increased its strength, but merely its potential." "We know Hizbullah is reequipping itself with arms, and this is a catastrophe, first and foremost for Lebanon itself," said Peres. "Lebanon is about to get $7.5 billion in aid, and if Hizbullah attempts to misbehave, it will destroy the country," he said.
Peres said the enlarged UN force deployed in Lebanon was far more effective than previous versions. Nevertheless, he said UNIFIL must take increased measures to stop the smuggling of arms to Hizbullah. "I don't think Hizbullah has managed to rearm to its pre-war level. It sustained a serious blow during the summer and is still trying to recuperate," he said. Peres travelled west to east along the border, finishing his tour at the IDF's Tulip outpost near Ghajar, where he answered questions from Golani Brigade soldiers. Peres said the army was investing a great deal of effort to fix the flaws that became evident during last summer's war in Lebanon, emphasizing training - which, he said, had now reached a much higher level.
"Mistakes have been made. Whereas totalitarian regimes just sweep all their problems under the carpet, as Hizbullah has done, we [admit] them publicly and out in the open," he said. "The real test is whether we are fixing our mistakes, and I can tell you that we are... The situation on the northern border is far better than before the war." "Israel's position is that there cannot be a Hizbullah presence on the other side of the border... From what we are witnessing, [Hizbullah head Hassan] Nasrallah is ridiculing the UN, admitting that the group has been engaging in arms smuggling," said Peres, adding there was "no such thing in the world as a nation that has two armies." He downplayed forecasts that another conflict with Hizbullah was imminent. "We need to be on a high state of alert, but under no circumstances do we need to be on edge," he said.
Concerning Syria, Peres said it was not an "independent agent" in the region. "It, too, is taking a very close look at the map and is definitely not satisfied," he said, noting that Syria shares borders with Iraq, Israel, Turkey and a "mixed-up Lebanon." According to Eizenkot, the reality Israel faces is "not a simple one," but it has changed for the better. "Hizbullah outposts along the border have been destroyed, the multinational force and the Lebanese army have deployed tens of thousands of troops in southern Lebanon, and I can assure you we have the IDF's finest units in this sector," he said.
"We need to remember that the force that held de facto sovereignty over southern Lebanon just seven months ago is no longer one that can operate freely in the region," continued the OC northern command, adding that Hizbullah was no longer conducting paramilitary activity in the region.
Source : The Jerusalem Post
samedi 17 février 2007
Les victimes des attentats au Liban depuis 2004
1er octobre 2004 : Marwan Hamadé, principal adjoint du chef druze du Parti socialiste progressiste de Walid Joumblatt, est grièvement blessé dans un attentat à la voiture piégée.
14 février 2005 : L’ex-premier ministre Rafik Hariri est tué dans un attentat à Beyrouth, qui fait au total 23 morts, dont le député et ancien ministre Bassel Fleyhane, et 220 blessés.
19 mars 2005 : L'explosion d'une voiture piégée fait onze blessés à Jdeidé, un quartier chrétien résidentiel de la banlieue de Beyrouth.
23 mars 2005 : Un attentat à l'explosif dans un centre commercial de Kaslik (nord de Beyrouth) fait trois morts.
26 mars 2005 : Attentat à la voiture piégée dans une zone industrielle au nord-est de Beyrouth : six blessés.
1er avril 2005 : Neuf blessés dans un attentat à l'explosif contre un centre commercial et résidentiel à Broumana, à l'est de Beyrouth.
6 mai 2005 : 22 personnes sont blessées dans un attentat à l'explosif dans la ville chrétienne de Jounieh, au nord de Beyrouth.
2 juin 2005 : Le journaliste Samir Kassir, co-fondateur du Mouvement de la Gauche Démocratique, est tué dans un attentat à la voiture piégée dans le quartier d'Achrafieh à Beyrouth.
21 juin 2005 : L'ancien secrétaire général du Parti communiste Georges Hawi est tué dans un attentat à la voiture piégée près de son domicile, à Beyrouth.
12 juillet 2005 : Le ministre de la Défense Elias Murr est blessé dans un attentat à la voiture piégée dans la banlieue nord-est de Beyrouth qui fait un mort et neuf autres blessés.
22 juillet 2005 : Une explosion près d'une rue animée dans le quartier d'Achrafieh à Beyrouth fait douze blessés.
22 août 2005 : Trois blessés dans l'explosion d'une charge à Zalka, localité chrétienne de la banlieue nord de Beyrouth.
16 septembre 2005 : L’explosion d'un engin piégé à Jeitaoui, un quartier chrétien de Beyrouth, fait un mort et 28 blessés.
25 septembre 2005 : La journaliste May Chidiac est grièvement blessée dans l'explosion d'une bombe placée dans sa voiture, au nord de Beyrouth.
12 décembre 2005 : Le député et journaliste chrétien Gebrane Tuéni est tué, avec deux de ses proches, dans un attentat à la voiture piégée, près de Beyrouth.
5 septembre 2006 : Le lieutenant-colonel Samir Chéhadé, un haut responsable de la sécurité lié à l'enquête sur l'assassinat de Hariri, est blessé et quatre de ses gardes du corps sont tués dans un attentat à l'explosif au sud de Beyrouth.
21 novembre 2006 : Le député et ministre de l'Industrie, Pierre Gemayel, est tué par balles à Jdeideh, au nord de Beyrouth.
16 février 2007 : L’explosion simultanée de deux charges situées dans des bus de transport en commun fait 3 morts et 18 blessés à Aïn Alak, près de Bikfaya, village de la famille Gemayel.
Source : Le Figaro
14 février 2005 : L’ex-premier ministre Rafik Hariri est tué dans un attentat à Beyrouth, qui fait au total 23 morts, dont le député et ancien ministre Bassel Fleyhane, et 220 blessés.
19 mars 2005 : L'explosion d'une voiture piégée fait onze blessés à Jdeidé, un quartier chrétien résidentiel de la banlieue de Beyrouth.
23 mars 2005 : Un attentat à l'explosif dans un centre commercial de Kaslik (nord de Beyrouth) fait trois morts.
26 mars 2005 : Attentat à la voiture piégée dans une zone industrielle au nord-est de Beyrouth : six blessés.
1er avril 2005 : Neuf blessés dans un attentat à l'explosif contre un centre commercial et résidentiel à Broumana, à l'est de Beyrouth.
6 mai 2005 : 22 personnes sont blessées dans un attentat à l'explosif dans la ville chrétienne de Jounieh, au nord de Beyrouth.
2 juin 2005 : Le journaliste Samir Kassir, co-fondateur du Mouvement de la Gauche Démocratique, est tué dans un attentat à la voiture piégée dans le quartier d'Achrafieh à Beyrouth.
21 juin 2005 : L'ancien secrétaire général du Parti communiste Georges Hawi est tué dans un attentat à la voiture piégée près de son domicile, à Beyrouth.
12 juillet 2005 : Le ministre de la Défense Elias Murr est blessé dans un attentat à la voiture piégée dans la banlieue nord-est de Beyrouth qui fait un mort et neuf autres blessés.
22 juillet 2005 : Une explosion près d'une rue animée dans le quartier d'Achrafieh à Beyrouth fait douze blessés.
22 août 2005 : Trois blessés dans l'explosion d'une charge à Zalka, localité chrétienne de la banlieue nord de Beyrouth.
16 septembre 2005 : L’explosion d'un engin piégé à Jeitaoui, un quartier chrétien de Beyrouth, fait un mort et 28 blessés.
25 septembre 2005 : La journaliste May Chidiac est grièvement blessée dans l'explosion d'une bombe placée dans sa voiture, au nord de Beyrouth.
12 décembre 2005 : Le député et journaliste chrétien Gebrane Tuéni est tué, avec deux de ses proches, dans un attentat à la voiture piégée, près de Beyrouth.
5 septembre 2006 : Le lieutenant-colonel Samir Chéhadé, un haut responsable de la sécurité lié à l'enquête sur l'assassinat de Hariri, est blessé et quatre de ses gardes du corps sont tués dans un attentat à l'explosif au sud de Beyrouth.
21 novembre 2006 : Le député et ministre de l'Industrie, Pierre Gemayel, est tué par balles à Jdeideh, au nord de Beyrouth.
16 février 2007 : L’explosion simultanée de deux charges situées dans des bus de transport en commun fait 3 morts et 18 blessés à Aïn Alak, près de Bikfaya, village de la famille Gemayel.
Source : Le Figaro
vendredi 16 février 2007
USA: Proposition de loi visant à interdire l'utilisation de bombes à fragmentation
Suite à la publication d'un rapport préliminaire au sujet de l'utilisation par l'État hébreu de bombes à fragmentation d'origine américaine durant le conflit israélo-libanais de juillet dernier, deux sénateurs américains ont proposé une loi qui protégerait les civils de tels engins explosifs. Cette loi interdirait l'armée américaine d'utiliser des bombes à sous-munition sur les zones civiles et bannir l'utilisation et le transfert de bombes à fragmentation dont le taux d'autodestruction dépasserait 1 %.
Source : Libnanews
Source : Libnanews
lundi 12 février 2007
Trois policiers kidnappés par la milice palestinienne Fatah Islam
Selon l'agence nationale d'information, trois policiers libanais ont été brièvement kidnappés ce matin à neuf heures par une organisation palestinienne du nom de Fatah Islam, alors qu'ils circulaient à proximité de l'entrée du camp de Nahr el Bared au Nord Liban. Les militants palestiniens se seraient également emparés du véhicule de la police libanaise.
Selon l'OLP, 200 militants du Fatah Islam seraient entrés au Liban en novembre 2006 à partir de la Syrie. Ils auraient auparavant rejoint l'organisation du Fatah Intifada, avant de former par eux-mêmes le Fatah Islam.
Source : Libnanews
Selon l'OLP, 200 militants du Fatah Islam seraient entrés au Liban en novembre 2006 à partir de la Syrie. Ils auraient auparavant rejoint l'organisation du Fatah Intifada, avant de former par eux-mêmes le Fatah Islam.
Source : Libnanews
samedi 10 février 2007
Lebanon hit by black market weapons boom
Demand for assault rifles rises as Lebanese seek personal protection amid fears of new civil war.
The price of a Kalashnikov assault rifle has soared in Lebanon, riding the wave of political crisis, community tension and fears of a new civil war.
It used to be 100 dollars (76 euros). Now it's more than 700 dollars.
"It's a stampede," an arms dealer who did not wish to be named said.
"Those who have guns are keeping them or not selling except for a huge profit, and those who don't have them are buying so they can face any eventuality."
He said a cartridge clip that used to go for two dollars now costs 20 dollars, and "a Kalashnikov has gone from a hundred dollars to 700 or 750 dollars."
After the country's 1975-1990 civil war, militias handed in their weapons, all of them except the Shiite group Hezbollah, whose guerrillas were fighting Israeli occupation in south Lebanon.
The United Nations -- as well as Lebanese officials -- have demanded that Hezbollah disarm, but it has not done so.
After the current political crisis sparked deadly Beirut street clashes last month between opposition supporters and those backing the government of Prime Minister Fuad Siniora, "everyone is looking for guns," said a businessman close to the arms trade.
Requesting anonymity, he added that Hezbollah, which heads the opposition movement, is not selling weapons on the local market.
The source of guns now available is twofold, the businessman said. Either they have been passed from hand to hand down the years or they were smuggled into the country, generally from Iraq.
Last December, police in the north seized weapons in a raid on offices of a pro-Syrian party, which said they were left over from the 1980s "from the time of the resistance" against Israel.
But guns that have hit the market recently are brought by road from Iraq via Syria, often hidden in containers, lorries, "and even concealed inside car doors," the businessman said.
"To ensure they are not found by Syrian customs officers, only small quantities are smuggled at any one time," he added.
On February 4, Syrian officials said they had impounded an Iraqi truck transporting guns to Lebanon, and on Thursday a lorry loaded with weapons destined for Hezbollah was intercepted by security forces in east Beirut.
A UN report late last year on the implementation of UN Security Council Resolution 1701, which ended the 34-day summer war between Israel and Hezbollah, spoke of "information concerning arms movements on the Syrian-Lebanese border."
For the arms dealer, who uses intermediaries to buy guns from Iraq, the former Yugoslavia remains an elusive El Dorado.
"If only I could break into the market over there," he said. "I'd bring over all the Kalashnikovs and sell them in the blink of an eye."
A client's motives for buying a gun are unimportant. In Lebanon, when it comes to doing business, politics plays no part -- both smugglers and dealers have links with all parties, the businessman said.
Kalshnikovs and US-made M-16s are most highly sought after, as are handguns. "But not heavy weapons," said the businessman. "It's more difficult to bring in a cannon or rocket launcher, and demand is low."
The black market price of a rocket launcher has not risen -- it is still 300 dollars.
Patrick Haenni, an analyst with the International Crisis Group, said the absence of demand for heavy weapons is telling.
"It's true that there is a general tension that is leading people to arm themselves, but I don't think this indicates imminent hostilities," he said.
Haenni believes the current trend to buy guns may give rise to "localized blunders," as happened in late January when seven people were killed and more than 300 wounded in the Beirut street fighting.
"But for civil war to break out again requires a political decision, and for the moment there has not been one," he said.
Source : Middle East On Line
The price of a Kalashnikov assault rifle has soared in Lebanon, riding the wave of political crisis, community tension and fears of a new civil war.
It used to be 100 dollars (76 euros). Now it's more than 700 dollars.
"It's a stampede," an arms dealer who did not wish to be named said.
"Those who have guns are keeping them or not selling except for a huge profit, and those who don't have them are buying so they can face any eventuality."
He said a cartridge clip that used to go for two dollars now costs 20 dollars, and "a Kalashnikov has gone from a hundred dollars to 700 or 750 dollars."
After the country's 1975-1990 civil war, militias handed in their weapons, all of them except the Shiite group Hezbollah, whose guerrillas were fighting Israeli occupation in south Lebanon.
The United Nations -- as well as Lebanese officials -- have demanded that Hezbollah disarm, but it has not done so.
After the current political crisis sparked deadly Beirut street clashes last month between opposition supporters and those backing the government of Prime Minister Fuad Siniora, "everyone is looking for guns," said a businessman close to the arms trade.
Requesting anonymity, he added that Hezbollah, which heads the opposition movement, is not selling weapons on the local market.
The source of guns now available is twofold, the businessman said. Either they have been passed from hand to hand down the years or they were smuggled into the country, generally from Iraq.
Last December, police in the north seized weapons in a raid on offices of a pro-Syrian party, which said they were left over from the 1980s "from the time of the resistance" against Israel.
But guns that have hit the market recently are brought by road from Iraq via Syria, often hidden in containers, lorries, "and even concealed inside car doors," the businessman said.
"To ensure they are not found by Syrian customs officers, only small quantities are smuggled at any one time," he added.
On February 4, Syrian officials said they had impounded an Iraqi truck transporting guns to Lebanon, and on Thursday a lorry loaded with weapons destined for Hezbollah was intercepted by security forces in east Beirut.
A UN report late last year on the implementation of UN Security Council Resolution 1701, which ended the 34-day summer war between Israel and Hezbollah, spoke of "information concerning arms movements on the Syrian-Lebanese border."
For the arms dealer, who uses intermediaries to buy guns from Iraq, the former Yugoslavia remains an elusive El Dorado.
"If only I could break into the market over there," he said. "I'd bring over all the Kalashnikovs and sell them in the blink of an eye."
A client's motives for buying a gun are unimportant. In Lebanon, when it comes to doing business, politics plays no part -- both smugglers and dealers have links with all parties, the businessman said.
Kalshnikovs and US-made M-16s are most highly sought after, as are handguns. "But not heavy weapons," said the businessman. "It's more difficult to bring in a cannon or rocket launcher, and demand is low."
The black market price of a rocket launcher has not risen -- it is still 300 dollars.
Patrick Haenni, an analyst with the International Crisis Group, said the absence of demand for heavy weapons is telling.
"It's true that there is a general tension that is leading people to arm themselves, but I don't think this indicates imminent hostilities," he said.
Haenni believes the current trend to buy guns may give rise to "localized blunders," as happened in late January when seven people were killed and more than 300 wounded in the Beirut street fighting.
"But for civil war to break out again requires a political decision, and for the moment there has not been one," he said.
Source : Middle East On Line
L’armée libanaise démantèle un réseau terroriste
Selon la chaîne LBCI, le 2ème bureau de l'armée libanaise aurait démantelé un réseau terroriste basé dans le camp palestinien d'Aïn Helweh (Saïda), et qui se préparait à organiser des attaques terroristes contre la FINUL.
Source : Libnanews
Source : Libnanews
Le Hezbollah insiste pour le retour des armes saisies
Réagissant aux propos du ministre de la Défense refusant de rendre la cargaison d'armes saisies au cours de cette semaine au mouvement chiite du Hezbollah, le député Hassan Fadlallah a déclaré, au cours d'une conférence de presse tenue ce vendredi, qu'il décidera lui-même du moment et de la nature des cadeaux à faire à l'armée, reconnaissant que l'armée libanaise défend la frontière, mais demandant implicitement le retour des armes saisies à celui-ci.
Selon le quotidien An-Nahar, la cargaison d'armes comprendrait 48 mortiers de 60 mm, 16 mortiers de 120 mm, cinquante roquettes de type Grad et 118 obus de mortier.
Source : Libnanews
Selon le quotidien An-Nahar, la cargaison d'armes comprendrait 48 mortiers de 60 mm, 16 mortiers de 120 mm, cinquante roquettes de type Grad et 118 obus de mortier.
Source : Libnanews
mercredi 7 février 2007
Les États-Unis arment les forces de sécurité intérieure
Les États-Unis ont aujourd'hui effectué une donation de 60 véhicules de type Ford Export équipés avec des sirènes et du matériel nécessaire aux forces de sécurité intérieure, au cours d'une cérémonie tenue dans la caserne de celles-ci à Dbayeh, en présence du chef de mission, Christopher Murray et du général libanais Achraf Rifi.
Ces véhicules s'ajoutent aux 2000 équipements déjà fournis aux forces de sécurité intérieure, leur permettant, selon l'ambassade américaine d'étendre le théâtre de leur opération sur tout le pays et de protéger le peuple libanais et le gouvernement démocratiquement élu des menaces sécuritaires en raison des perturbations actuelles. (…)
Selon l'ambassade américaine, les États-Unis se sont engagés à fournir aux forces de sécurité intérieure libanaise, des équipements anti-émeutes, des uniformes de police, des transports de troupes blindées, ainsi que des équipements nécessaires à la gestion de crise.
Les véhicules ont été financés par les fonds américains d'assistance à la sécurité, les équipements anti-émeutes par le département d'État américain à la stabilisation et à la défense. Ces deux départements participent au programme d'assistances aux forces de sécurité intérieure, qui vise à assurer la sécurité et à sauvegarder le peuple libanais, soutenant, toujours selon l'ambassade américaine, le gouvernement démocratiquement élu du Liban.
Source : Libnanews
Ces véhicules s'ajoutent aux 2000 équipements déjà fournis aux forces de sécurité intérieure, leur permettant, selon l'ambassade américaine d'étendre le théâtre de leur opération sur tout le pays et de protéger le peuple libanais et le gouvernement démocratiquement élu des menaces sécuritaires en raison des perturbations actuelles. (…)
Selon l'ambassade américaine, les États-Unis se sont engagés à fournir aux forces de sécurité intérieure libanaise, des équipements anti-émeutes, des uniformes de police, des transports de troupes blindées, ainsi que des équipements nécessaires à la gestion de crise.
Les véhicules ont été financés par les fonds américains d'assistance à la sécurité, les équipements anti-émeutes par le département d'État américain à la stabilisation et à la défense. Ces deux départements participent au programme d'assistances aux forces de sécurité intérieure, qui vise à assurer la sécurité et à sauvegarder le peuple libanais, soutenant, toujours selon l'ambassade américaine, le gouvernement démocratiquement élu du Liban.
Source : Libnanews
Les voitures blindées, un marché florissant au Liban
Le quotidien libanais Assafir souligne que la situation que connaît le Liban profite aux fabricants, aux transformateurs et aux équipementiers des voitures. Les annonces se multiplient pour faire la promotion d’une société spécialisée dans le blindage des voitures contre les charges explosives et contre les balles. Pour certains, qui sont pressés de détenir ce genre de véhicules, l’entreprise qui compte déjà parmi ses clients des ambassades et des hommes politiques, propose l’importation de voitures déjà blindées, ou la location parmi son parc déjà prêt.
Source : Assafir via MediArabe
Source : Assafir via MediArabe
La majorité se réarme
Selon le quotidien britannique, The Guardian, le mouvement chiite Hezbollah ne serait plus le seul à posséder des armes. La vente d'armes a en effet triplé, démontrant que les factions politiques sont en train de se réarmer. The Guardian indique que des personnes armées d'origine sunnite, soutenus par un parti membre de la coalition majoritaire et entraînées à l'étranger notamment en Égypte, en Jordanie et en Arabie Saoudite ont fait leur apparition dans la capitale libanaise. (…)
Le journal britannique note également que ce réarmement ne concernerait pas seulement la communauté musulmane mais également la communauté chrétienne. Il indique que des membres des forces libanaises ont été arrêtés en novembre dernier au cours d'une séance d'entraînement au maniement d'armes. (…)
Selon un journal libanais, la vente d'armes illégales a triplé au Liban, de nouvelles armes ont été achetées par les sympathisants de groupes politiques. Cet article fait écho aux affirmations des dirigeants de l'opposition accusant la majorité actuelle de former des hommes et de fomenter une guerre civile à caractère confessionnelle. Il est encore à noter que le Hezbollah avait alors affirmé lors des émeutes de janvier dernier que ses armes ne se retourneraient pas contre la population libanaise malgré les provocations faites par la majorité actuelle.
Source : Libnanews
Le journal britannique note également que ce réarmement ne concernerait pas seulement la communauté musulmane mais également la communauté chrétienne. Il indique que des membres des forces libanaises ont été arrêtés en novembre dernier au cours d'une séance d'entraînement au maniement d'armes. (…)
Selon un journal libanais, la vente d'armes illégales a triplé au Liban, de nouvelles armes ont été achetées par les sympathisants de groupes politiques. Cet article fait écho aux affirmations des dirigeants de l'opposition accusant la majorité actuelle de former des hommes et de fomenter une guerre civile à caractère confessionnelle. Il est encore à noter que le Hezbollah avait alors affirmé lors des émeutes de janvier dernier que ses armes ne se retourneraient pas contre la population libanaise malgré les provocations faites par la majorité actuelle.
Source : Libnanews
mardi 6 février 2007
Fears of new civil war increase as Lebanese political factions rearm
Gun sales in Lebanon have tripled since the current standoff between the government and the Hizbullah-led opposition began, prompting concern that political factions are rearming.
The increased presence of gunmen on the streets of the capital, Beirut, and reports of fighters loyal to the Sunni-dominated government being trained overseas has heightened fears of a return to civil war, which ravaged Lebanon from 1975 to 1990. Gunfights last month, some involving the army, left six civilians dead and more than 150 wounded.
"There is a reappearance of arms in the hands of almost every political group; we are sitting on a powder keg, tension is increasing every day," said a prominent security analyst. "They don't know what they are doing, they are going to destroy this country."
A two-month campaign by the Shia and Christian opposition to topple the government descended into riots and street battles last month between Christians from rival camps and between pro-government Sunnis and the opposition.
The Arab League secretary general, Amr Moussa, is expected to visit Beirut soon in a second attempt to mediate after his efforts in December failed.
Tensions are running high ahead of the second anniversary next week of the assassination of Sunni prime minister Rafik Hariri, when supporters of the government intend to stage a massive rally near the sprawling tent city where opposition protesters have been staging a sit-in for more than eight weeks.
The sense of instability has deepened with the seizure of guns and training equipment in November from members of a former Christian militia commando unit as well as reports by US intelligence analysts of fighters loyal to Lebanon's largest Sunni party being trained abroad.
The private intelligence company Stratfor reported in December that "Lebanon's Sunni bloc, led by the Hariri clan and their regional Arab allies, has sent a number of fighters to Jordan, Saudi Arabia and Egypt to receive military training to counter Hizbullah's well-equipped and well-trained military forces."
According to the analyst...-...himself a Sunni...-...contingents of men are being brought from Sunni areas in the north to safe houses around the centre of Beirut where they are armed in preparation for clashes such as those last month.
"They are not militias yet but they are increasingly assuming the role of a militia," he said.
Hizbullah has said it wants to prevent violence, claiming any division will be exploited by Israel, but its significant military apparatus remains controversial among Lebanese.
According to one Lebanese newspaper, illegal arms sales have increased threefold. Lebanon is now awash with arms dealers, the newspaper reported, some selling 10 to 15 guns a day in a country of four million people. Many of the guns are bought by individuals, but there have also been newer weapons bought in bulk by supporters of key political groups.
Source : The Guardian
The increased presence of gunmen on the streets of the capital, Beirut, and reports of fighters loyal to the Sunni-dominated government being trained overseas has heightened fears of a return to civil war, which ravaged Lebanon from 1975 to 1990. Gunfights last month, some involving the army, left six civilians dead and more than 150 wounded.
"There is a reappearance of arms in the hands of almost every political group; we are sitting on a powder keg, tension is increasing every day," said a prominent security analyst. "They don't know what they are doing, they are going to destroy this country."
A two-month campaign by the Shia and Christian opposition to topple the government descended into riots and street battles last month between Christians from rival camps and between pro-government Sunnis and the opposition.
The Arab League secretary general, Amr Moussa, is expected to visit Beirut soon in a second attempt to mediate after his efforts in December failed.
Tensions are running high ahead of the second anniversary next week of the assassination of Sunni prime minister Rafik Hariri, when supporters of the government intend to stage a massive rally near the sprawling tent city where opposition protesters have been staging a sit-in for more than eight weeks.
The sense of instability has deepened with the seizure of guns and training equipment in November from members of a former Christian militia commando unit as well as reports by US intelligence analysts of fighters loyal to Lebanon's largest Sunni party being trained abroad.
The private intelligence company Stratfor reported in December that "Lebanon's Sunni bloc, led by the Hariri clan and their regional Arab allies, has sent a number of fighters to Jordan, Saudi Arabia and Egypt to receive military training to counter Hizbullah's well-equipped and well-trained military forces."
According to the analyst...-...himself a Sunni...-...contingents of men are being brought from Sunni areas in the north to safe houses around the centre of Beirut where they are armed in preparation for clashes such as those last month.
"They are not militias yet but they are increasingly assuming the role of a militia," he said.
Hizbullah has said it wants to prevent violence, claiming any division will be exploited by Israel, but its significant military apparatus remains controversial among Lebanese.
According to one Lebanese newspaper, illegal arms sales have increased threefold. Lebanon is now awash with arms dealers, the newspaper reported, some selling 10 to 15 guns a day in a country of four million people. Many of the guns are bought by individuals, but there have also been newer weapons bought in bulk by supporters of key political groups.
Source : The Guardian
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