mardi 29 mai 2007

UN team set to assess security on Syrian border

The UN's Lebanon Independent Border Assessment Team arrived on Monday to evaluate reports of arms smuggling across the Syrian border in violation of UN Security Council resolutions. The team was dispatched following the council's presidential statement of April 17, in which the council asked UN Secretary General Ban Ki-moon to send an independent group to assess border-security arrangements along the Lebanese-Syrian border.

The team is led by Lasse Christensen of Denmark and is composed of experts from Algeria, Germany, Jamaica and Switzerland. The team will work closely with the local authorities and will recommend measures and strategies to improve the situation. During its two-week mission, the team will meet army and security officials responsible for the border, and submit a report of its findings to the secretary general, said a UN source.

Ban said last week the team "will review the roles of relevant agencies, with particular attention to customs and border-monitoring capacities, as well as progress made by security and customs agencies in strengthening their control of the border.”Earlier this month, Ban warned in a report that the alleged arms smuggling and the possible arming of various groups in Lebanon might deepen the country's political crisis. Syria has repeatedly denied that weapons are making their way over the border into Lebanon.

Source : The Daily Star

lundi 28 mai 2007

La mission de surveillance de la frontière avec la Syrie est arrivée au Liban

Une mission des Nations unies est arrivée aujourd’hui 28 mai au Liban pour s’informer sur des allégations d’infiltrations d’armes à travers la frontière syrienne, en violation des résolutions du Conseil de sécurité. Cette équipe onusienne, dirigée par le Danois Lasse Rosenkrands et composée d’experts algérien, allemand, jamaïcain et suisse, doit passer deux semaines au Liban et établira des contacts « avec l’armée libanaise et tous les services de sécurité concernés par la surveillance des frontières », selon une source diplomatique bien informée.

Source : L'Orient Le Jour

dimanche 27 mai 2007

Les Etats-Unis envoient des armes à l'armée libanaise

Samedi 26 mai, trois avions cargo de l’US Air Force ont atterri à Beyrouth avec à leur bord des munitions et du matériel destiné à l’armée libanaise. Six avions transportant également de l’aide militaire, provenant des États-Unis et de pays arabes alliés, étaient arrivés au Liban la veille. Ces cargaisons avaient été promises il y a plusieurs mois. Leur acheminement aurait été précipité par les combats qui opposent depuis une semaine l’armée libanaise au groupe Fatah al Islam, retranché dans le camp de réfugié palestinien de Nahr al Bared. Les militants de ce groupuscule ont déclaré qu’ils se battraient « jusqu’à la mort » et ont affirmé que le matériel militaire fourni par les États-Unis comportait des bombes à fragmentation et du gaz neurotoxique. Le porte-parole du Fatah Al Islam Abou Salim Taha a déclaré que « si les militaires utilisent des armes non conventionnelles contre nous, nous répondrons par des attaques non conventionnelles partout ». Un porte-parole de l’armée libanaise a pour sa part répondu que « de telles déclarations ne méritaient même pas de commentaires ».

Source : iLoubnan

jeudi 24 mai 2007

Bouclier antimissile : Poutine craint une nouvelle course aux armements

La Russie craint que le projet américain de bouclier antimissile en Europe ne relance la « course aux armements », a affirmé hier à Vienne le président russe Vladimir Poutine, estimant que l’Europe n’était pas menacée par d’éventuels missiles en provenance d’Iran. « Que se passe-t-il de si négatif en Europe pour qu’on doive remplir l’Europe centrale d’armements ? » s’est interrogé M. Poutine devant la presse. Et le président russe d’ajouter que ce développement de la situation est « absolument contre-productif et nuisible ». M. Poutine a une nouvelle fois réfuté l’argument de Washington selon lequel le nouveau bouclier antimissile en Europe devait permettre de se protéger contre d’éventuelles attaques de la part de l’Iran notamment. « Mais le rayon d’action des missiles (iraniens) est de 1 700 km », a-t-il noté en soulignant que pour atteindre l’Europe il faut que l’Iran ait des missiles d’un rayon d’action de 5 000 à 8 000 km. « L’Iran ne l’envisage même pas et ici, on déploie déjà les missiles (antimissiles) », a affirmé M. Poutine.De son côté, le ministre russe des Affaires étrangères Sergueï Lavrov a demandé hier la convocation d’une conférence extraordinaire pour réviser le traité sur les Forces conventionnelles en Europe (FCE), dans un discours devant l’Organisation pour la sécurité et la coopération en Europe (OSCE) à Vienne. Estimant que l’Otan ne respecte pas ce traité signé en 1990 et entré en vigueur deux ans plus tard, la Russie réclame une « conférence extraordinaire d’examen » pour juger de la viabilité du texte. Ce traité avait marqué au début des années 1990 la fin de la guerre froide car il encadre la réduction des forces armées et des équipements classiques des deux blocs.

Source : L'Orient Le Jour

La Russie dément que des armes vendues à la Syrie seront réexportées en Iran

Le premier vice-Premier ministre russe Sergueï Ivanov a opposé hier un démenti aux affirmations d’un article de presse selon lesquelles un système de défense antiaérien qui a été vendu par la Russie à la Syrie sera réexporté vers l’Iran. « Nous n’avons reçu ni requête ni question de qui que ce soit s’exprimant au nom de la Syrie, non seulement pour le (système de défense antiaérien) Pantsyr, mais également pour la moindre munition », a indiqué M. Ivanov lors d’une conférence de presse télévisée. « Les armes ne peuvent être réexportés et fournies à un pays tiers sans l’accord du vendeur, en l’occurrence la Fédération russe », a ajouté M. Ivanov, précisant qu’un tel accord n’avait pas été donné.

Dans sa dernière édition, le magazine Jane’s Defence Weekly indique que la Syrie a accepté d’exporter vers l’Iran dix systèmes de défense antiaériens que la Russie lui a vendus. Citant une source proche des négociations, le magazine affirme que Moscou a donné son accord pour vendre à Damas quelque 50 systèmes antiaériens Pantsyr-S1E de missiles à courte portée pour la somme estimée de 730 millions de dollars (542 millions d’euros). Selon cette source, Damas et Téhéran ont conclu cet arrangement afin d’éviter à Moscou de nouvelles pressions diplomatiques de l’Occident concernant ses ventes d’armes. La Russie s’était trouvée au centre de critiques venues d’Israël et des États-Unis après avoir accepté en 2005 de fournir à l’Iran un système Tor-M1 de missiles sol-air, contrat qui a été finalisé en janvier 2007.

Source : L'Orient Le Jour

mercredi 23 mai 2007

Arabs send arms for army - and US may follow suit

Arab League chief Amr Moussa said Tuesday that some Arab countries had sent weapons to the Lebanese Army to boost its fight against Islamic militants, as world leaders continued to express their support for the government in fighting in North Lebanon. Moussa did not disclose which Arab states had supplied Lebanon with weapons, or the quantity of arms provided.

"But more weapons will be sent, should the need arise," Moussa said.

The League issued a statement condemning the "terrorist acts committed" by Fatah al-Islam, which it said "has nothing to do with Palestinians or Islam." The statement expressed "total support for the efforts exerted by the Lebanese government and Army to assert security and stability."

(...)

US officials said Tuesday that Washington may also provide emergency military aid to Siniora. "Right now, we are considering a request for additional assistance coming from the Lebanese government," State Department spokesman Sean McCormack said.

Source : The Daily Star

La Syrie s’apprêterait à fournir des armes au Fatah Al-Islam

Alors que le Fatah Al-Islam affirme vouloir "respecter la trêve" mais refuse "la reddition à l’armée libanaise", un journal koweïtien affirme que "le dirigeant du groupe terroriste a demandé un soutien logistique à la Syrie" qui s’apprête à le lui fournir.
Selon le site « Elaph.com », un porte-parole du groupe Fatah Al-Islam a affirmé que « les combattants de son mouvement respecteront la trêve conclue avec l’armée libanaise, mais ils refusent toute reddition ».

(...)

D’autres informations semblent confirmer que la trêve ne peut être que provisoire, destinée à évacuer les civils du camp de Nahr El-Bared. En effet, selon le quotidien koweïtien « Al Seyassah », « le chef du Fatah Al-Islam, Chaker Al Abssi, aurait demandé aux services syriens de lui fournir du matériel et des munitions, afin de pouvoir résister aux assauts de l’armée libanaises. Les officiers traitants, en charge de ce groupuscule, auraient alors demandé au commandement de la marine syrienne de préparer des barques camouflées afin de transporter les munitions et les explosifs indispensables à la guerre des rues engagées. Pour ce faire, et au moment où l’armée libanaise a renforcé sa présence sur la frontière, le seul moyen serait le recours aux hommes-grenouilles par acheminer la marchandise ».

Source : Mediarabe.info

samedi 19 mai 2007

50 countries will meet to discuss the draft of a treaty to ban cluster munitions

Almost a year has passed since the summer 2006 war with Israel.

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Cluster munitions are anti-personnel weapons that scatter tiny but deadly bomblets over a wide area. The munitions, 4 million of which were spread across South Lebanon by Israeli forces - including about 1 million that failed to detonate - have caused 30 deaths and 180 injuries among civilians since the end of the war, according to the United Nations Mine Action Center.

The unexploded cluster munitions have turned homes, livelihoods and public places into de facto minefields.

Almost 50 countries will meet in Lima, Peru, from May 23-25 to discuss the draft of a treaty to ban the weapons, which have been used widely in Iraq, Afghanistan, Lebanon and the Russian region of Chechnya. But major cluster-bomb-producing states, including the US, Russia and China, have made clear they oppose a blanket ban, arguing that they need to keep the option of using the weapon for defense.

(...)

Although the lack of action by major foreign powers is a common lament, sanctions against Israel for misusing the weapons would not be unprecedented. The Reagan administration imposed a six-year ban on cluster-weapon sales to Israel in 1982 after a Congressional investigation found that Israel had used the weapons in civilian areas during its invasion of Lebanon that year.

While those in power alternately debate and ignore the issue of cluster munitions and their ramifications, Rasha continues to struggle each day against a permanent injury.

(...)

Source : The Daily Star

mercredi 16 mai 2007

La question de l'armement des milices demeure préoccupante

Les informations relatives au réarmement des milices au Liban, dont le Hezbollah, paraissent de plus en plus préoccupantes, affirme le Secrétaire général dans son dernier rapport sur la résolution 1559, surtout sur fond de persistance de la crise politique autour de la création d'un tribunal international dans l'affaire Hariri.

« Au cours des six mois qui se sont écoulés, le Liban a continué d'être plongé dans l'incertitude politique, le devant de la scène étant de plus en plus occupé par la création d'un tribunal spécial pour le Liban dans le contexte des travaux de la Commission d'enquête internationale indépendante », rappelle le dernier rapport du Secrétaire général au Conseil de sécurité sur la résolution 1559, destinée à rétablir la souveraineté du Liban.

« On a souvent exprimé la crainte que le statu quo provisoire et précaire qui a été préservé depuis le lendemain de la guerre civile ne risque de s'effondrer, entraînant un réarmement massif et faisant donc réapparaître le spectre d'un nouvel affrontement entre les Libanais », fait observer le Secrétaire général, qui craint au bout du compte « une nouvelle course aux armements au Liban », qui aurait des « conséquences imprévisibles ».

Le rapport souligne les principaux domaines de la résolution 1559 qui restent à mettre en oeuvre, à commencer par le désarmement des milices. Le Secrétaire général rappelle que « le Hezbollah soutient qu'il est en train de renforcer sa capacité et de reconstituer sa présence armée, qu'il est présent dans le sud du Liban au voisinage de la Ligne bleue, qu'il dispose d'une quantité considérable d'armes et qu'il a le droit de transporter ces armes dans le pays pour lutter contre Israël ».

Dans d'autres déclarations publiques, son chef, le Cheikh Hassan Nasrallah, a paru « rejeter l'idée que le Hezbollah soit 'un État dans l'État' remettant en question l'autorité même de l'État libanais ». Il a paru « également subordonner le désarmement de son groupe ('la solution à la question de la résistance') à l'établissement d'un 'État fort et d'une armée puissante' », note le rapport.

« Je constate que l'établissement d'un État fort et d'une armée puissante est la conséquence logique, plutôt que la condition préalable, du désarmement et de la dissolution des milices, de l'intégration de leur capacité militaire dans les forces armées régulières et de leur volonté de participer à la vie politique démocratique », affirme à cet égard Ban Ki-moon.

La Force intérimaire des Nations Unies au Liban (FINUL) n'a pas été en mesure de confirmer la présence de milices armées illégales au Sud-Liban. Mais le rapport souligne divers incidents à travers le pays. Ainsi, le gouvernement libanais a informé le Secrétaire général que « le 3 mars 2007, les douanes libanaises avaient arrêté, dans la zone du Mont Liban, un véhicule particulier, et avait saisi 25 Kalachnikovs entièrement neuves, ainsi que six boîtes contenant 700 balles chacune et 50 chargeurs ».

Dans le cadre d'un autre incident, le rapport évoque « une lettre adressée le 20 mars 2007 par la République arabe syrienne au Conseil de sécurité, qui indique que les autorités syriennes ont appréhendé un camion immatriculé en Iraq qui transportait des armes de contrebande ». « Je persiste à croire qu'il est impératif d'assurer la démarcation de la frontière libano-syrienne et son contrôle rigoureux de part et d'autre », affirme le Secrétaire général qui informe qu'il élabore « actuellement un cadre permettant d'évaluer la situation le long de la frontière » et qu'il a l'intention de « dépêcher sous peu, en liaison étroite avec le Gouvernement libanais, une mission indépendante pour évaluer de près la surveillance de la frontière ».

Ban Ki-moon note aussi « que la République arabe syrienne a affirmé qu'Israël envoyait des armes à certains groupes libanais, au sujet de quoi les médias se perdent en conjectures ». « Certaines sources ont également affirmé que d'autres parties de la région et de l'extérieur effectuaient aussi des transferts d'armes ». « Aucune preuve ne m'a été fournie à l'appui de ces dires », fait observer le Secrétaire général, qui se dit néanmoins préoccupé que ces allégations « montrent que l'autorité de l'État libanais sur l'ensemble de son territoire et son monopole de l'emploi légitime de la force sont loin d'être incontestés et assurés ».

Autre source d'inquiétude : « la menace croissante que représentent pour la présence des Nations Unies au Liban les groupes islamistes extrémistes qui auraient trouvé asile dans des camps de réfugiés palestiniens ». « À la suite du double attentat à la bombe commis contre des autocars le 13 février 2007, les Forces de sécurité interne ont arrêté un certain nombre de membres du groupe Fatah al Islam dont la plupart étaient des Syriens », indique le Secrétaire général.

« De l'avis de fonctionnaires libanais avec qui je me suis entretenu, ce groupe, qui partage l'idéologie d'Al-Qaida, est financé par la milice Fatah-Intifada basée à Damas et composée essentiellement de Syriens et de Palestiniens de résidence syrienne, bien qu'on y trouve aussi des Libanais et des membres d'autres nationalités. Le Fatah al-Islam aurait de 200 à 250 membres et serait dirigé par un Palestinien de Jordanie recherché par la justice au sujet de l'assassinat d'un diplomate des États-Unis à Amman en 2001 », précise Ban Ki-moon. « Le Ministre syrien de l'intérieur a affirmé que le groupe était lié à Al-Qaida et avait des contacts avec l'ancien dirigeant d'Al-Qaida en Mésopotamie, Abou Moussab Al Zarqaoui », ajoute-t-il.

Le rapport souligne par ailleurs un point connexe de la résolution 1559 qui n'a pas été encore mis en oeuvre, à savoir la démarcation de la frontière entre le Liban et la Syrie. « Je réaffirme ma conviction que l'établissement de relations diplomatiques officielles entre la République arabe syrienne et le Liban et la démarcation de la frontière syro-libanaise sont des mesures essentielles pour affirmer le strict respect de la souveraineté, de l'intégrité territoriale et de l'indépendance politique du Liban », affirme le rapport.

Source : L'Orient Le Jour

vendredi 11 mai 2007

UNICEF helps educate children on dangers of cluster bombs

Activities provide youngsters with safe alternatives to playing in explosive-riddled countryside

BINT JBEIL/MAARAKE: "Have any of you seen a cluster bomb in your houses used as a decoration?" a counselor with UNICEF Mine Risk Education program asks class of third- and fourth-graders at Al-Ahlia School in the Southern village of Maarake near Tyre. Several hands shoot up - a testament to the need for education on the issue following the summer 2006 war with Israel. Working with government ministries and several local and international NGOs, the UNICEF programs, conducted on a weekly basis, focus on restoring normalcy and promoting physical and psychological health for children and their families.

With the citrus harvest coming up, bringing families throughout rural Lebanon to the fields, the need for mine risk education is particularly acute.

Unexploded ordnance (UXO), including land mines from past conflicts and cluster munitions from the summer war, poses one of the most serious threats to children and their families in the South. Since the August 14 cease-fire, 29 people in the area have been killed by cluster bombs and 204 have been wounded, including 70 under the age of 18, according to UN statistics. The numbers continue to rise.

"A few months ago my 15-year-old cousin picked up a cluster bomb and was playing with it," said Sara Akika, a 13-year-old resident of Bint Jbeil. "He didn't know what it was, he was ignorant. It exploded right there in his hand."

Her cousin sustained severe injuries, but luckily he did not lose his hand.

Although UXO clearance teams have made much progress, the work is painstaking, and officials say it will take up to another year to remove the physical threat. Until then, education and awareness continue to be critical in protecting children and youth from the "ticking bomb" legacy of the war.

"I didn't die in the war but maybe now I will step on a cluster bomb and die. This is no life, I am not free," says Fatme Soulaman, 18, a student at the Khalil Jourdani Schoo in Maarake.

Working in coordination with Lebanon's National De-mining Office, the Lebanese Army and several UN organizations and NGOs, UNICEF heads an information campaign aimed at more than 1 million people in the areas hardest-hit by UXOs, including South Lebanon, the Bekaa Valley and the southern suburbs of Beirut. The mass communications component of the Mine Risk Education/UXO campaign focuses on key awareness messages describing what UXOs look like and what to do if it they are sighted: Don't approach, don't touch, and report to the authorities.

Awareness vehicles include posters, flyers, banners, television spots, radio messages and, creatively, water bottles.

UNICEF and Norwegian People's Aid funded the instruction of over 200 program trainers. In turn, the trainers now lead sessions in 150 villages targeting parents, agricultural workers, farmers, children and teachers.

"We are facing a second war now with the cluster bombs so these classes are critical," said Amena Ajami, a teacher at Al-Ahlia School. "They are saving the lives of our children, they need to be continued."

These school-based sessions include activities specifically tailored to different age groups, using coloring books, theater skits, photography exhibits and more. There is even a board game, a play on the classic snakes and ladders" with one difference: The villainous snakes are cluster bombs.

Despite their unconventional tactics, the educational programs have a difficult time reaching adolescents. Boys aged 13-18 face a unique challenge, trainers say: adolescent bravado. This age group has suffered almost a quarter of the total civilian injuries since the cease-fire.

Source : The Daily Star

mercredi 9 mai 2007

Ban cites Hizbullah's arms as 'key' threat to government's authority

UN chief Ban Ki-moon enumerated ways in which Security Council Resolution 1559 had not been implemented in a report submitted to the council late Monday, placing the disarmament of Hizbullah, respect for the sovereignty and territorial integrity of Lebanon and the holding of free and fair presidential elections atop the list of unfulfilled priorities.

It was the fifth semi-annual report on 1559 to be submitted to the council.

Ban reported that the continued possession of weapons by Hizbullah posed "a key challenge" to the Lebanese government's "monopoly on the legitimate use of force," and to the country's sovereignty.

Ban's report found little evidence to support assertions by Israel, however, that weapons are being funneled to Hizbullah through the border with Syria.

"UNIFIL received no reports of unauthorized armed personnel" and "has not detected illegal transfers of arms to areas south of the Litani," the report said, reiterating a passage from Ban's March 14 report on the implementation of UN Resolution 1701, which called for a cessation of hostilities in the summer 2006 war.

Ban likewise denied media speculation that Israel and other parties inside and outside the region were providing weaponry to groups aligned with the March 14 movement, saying the UN had no evidence to substantiate the claims.

"I reiterate my conviction that the disarmament of Lebanese and non-Lebanese militias must take place through a political process, which in the first instance depends on a resolution of the current political crisis and the establishment of dialogue and consensus," he said.

Ban took note of the many allegations concerning illegal arms trafficking and possible arming of Lebanese and non-Lebanese groups.

"All these are of great concern," the report said. "I am deeply worried the political crisis in Lebanon may be deepened and exacerbated by the allegations and related speculation."

The report pointed out that while Hizbullah has accused other groups of stockpiling weapons in secrecy, "it has publicly acknowledged remaining an armed militia in defiance of Resolution 1559."

Ban called on all parties "with the ability to influence Hizbullah to support its transformation into a solely political party." His report underscored the importance of cooperation by regional parties that maintain ties with Hizbullah.

In response to the report, Hizbullah MP Amin Cherri told The Daily Star that Hizbullah was itself concerned with illegal arming of certain Lebanese factions under the guise of "security companies." Hizbullah's arms were "in the service of Lebanon and the Lebanese" to protect against Israeli attacks, he said.

"There is no evidence of arms smuggling across the Syrian border, the Lebanese Army intelligence found no evidence nor has Israel with its sophisticated surveillance capabilities pro-vided by the US," Cherri said.

Concerning the issue of Palestinian arms outside refugee camps in Lebanon, which political leaders had agreed to abolish in national dialogue talks in the spring of 2006, Cherri said Hizbullah remained committed to the removal of all such weapons.

Source : The Daily Star

Ban Ki-Moon est inquiet des conséquences du trafic d’armes vers le Liban

Selon « Al Quds Al Arabi », le secrétaire général des nations Unis, Ban Ki-Moon, est très inquiet quant à la poursuite de l’afflux d’armes au Liban : « Je suis extrêmement préoccupé par le fait que la crise politique au Liban puisse être approfondie et exacerbée par des allégations en regard des trafics d’armes illégaux et des possibles réarmements de groupes libanais et non libanais », a-t-il déclaré dans son rapport relatif à l’application de la résolution 1559 adoptée en 2004 par le Conseil de sécurité. Ki-Moon appelle toutes les parties, dont les gouvernements syrien et iranien, à s’assurer de l’application complète des résolutions 1559 et 1701 du Conseil de Sécurité, et invite Damas à tracer ses frontières avec le Liban et à instaurer des relations diplomatiques normales entre les deux pays. Le Secrétaire général de l’ONU a par ailleurs appelé à « l’organisation d’élections présidentielles libres pour élire un successeur au président Emile Lahoud ». Selon lui, « le processus électoral doit être conduit conformément aux règles constitutionnelles libanaises sans l’intervention étrangère ».

Source : Al Quds Al Arabi (Londres) via MediArabe.info